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mon blog autour du manga et de l'animée japonais

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mon blog autour du manga et de l'animée japonais
20 février 2009

coyote mag n°30

Le numéro 30 de Coyote Mag est disponible en kisoque et chez tous les marchands de journaux avec au programme :

Le plein d'animes
EYESHIELD 21 : première française pour l’anime adapté du best seller de Yusuke Murata et Riichiro Inagaki !
D-GRAY MAN : Le shonen fantastique le plus couru depuis NARUTO déboule en DVD.
LES MYSTERIEUSES CITES D’OR : Jean Chalopin sort de sa retraite pour enfin donner une suite à la plus appréciée des 80.
BASQUASH : Shoji Kawamori, créateur de Macross, lance une nouvelle série à base de basket et de mechas !
EXCLUSIF : KENJI OBA, le comédien/cascadeur de X-OR à la rencontre de ses fans français.

L'actualité manga
NODAME CANTABILE : l’univers de la musique classique dans un chef d’œuvre de tendresse et de comédie par Tomoko Ninomiya.
AQUA NIGHT : L’auteur de GUNNM dans un inédit qui ravira les fans de SF.
UN DRÔLE DE PÈRE : la comédie familiale incontournable.
OMEGA COMPLEX : ou comment le manga français atteint enfin une vraie maturité.

L’actualité cinéma
EVANGELION 1.0 : YOU ARE (NOT) ALONE : Hideaki Anno réinvente la série culte des années 90, eu cinéma en quatre longs métrages.

Asian Sound
POLYSICS : Electro et métal font bon ménage chez ces héritiers de YMO.
MAXIMUM THE HORMONE : sans doute un des meilleurs groupes nippons de fusion. De l’énergie, de le sueur et des riffs !
PLASTIC TREE : Le quatuor se réinvente entre rock visual et brit pop.

Et toutes vos rubriques habituelles...
Jeux vidéo : un avenir mitigé pour Square ?
News Street : 12 pages en direct du Japon, avec tous les nouveaux animes et films « live »
DVD Street : le guide indispensable des sorties DVD, à lire avant d'investir...
Manga Street : la sélection des nouveautés mangas, passés au crible en 13 pages

En bonus
Prépublication : les premières pages de RAIDERS  et de NABARI.
Posters : D-GRAY MAN, NABARI,  et les affiches de EVANGELION 1.0.

Prochain numéro le 5 Mai

coyote_mag_30

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29 janvier 2009

les enfant de goldorak

J’ai troué cette article dans le télé 7 jour  sur le phénomène manga

Photo

Photo_001

16 janvier 2009

article dans le monde

j'ai trouvé ses petit article sur le site du monde

La révolution manga frappe
en plein musée

De notre envoyée spéciale à Humlebæk (Danemark) Valérie Duponchelle
09/01/2009 | Mise à jour : 10:53
| Commentaires 1 | Ajouter à ma sélection

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Yoshitaka Amano, Untitled (2006).
Yoshitaka Amano, Untitled (2006).

La Fondation Louisiana retrace l'épopée de ces BD populaires, héritées du monde de l'estampe.

« Manga ! » Les cinq lettres rouges en caractère bâton flashent sur le mur blanc comme une enseigne de cinéma. L'énorme œil bleu du jeune héros guerrier vous regarde comme un zoom sur grand écran, moment décisif pour l'intrigue, tempo de l'action. Le découpage et le recadrage de l'image par ­le dessinateur Yoshitaka Amano en 2006 appliquent la leçon des estampes du XIXe siècle qui influencèrent la pein­ture occidentale par leurs couleurs vives, l'absence d'ombres et de perspective, leur puissance expressive.

C'est tout l'intérêt de ­cette exposition plutôt pointue de la Fondation Louisiana, au nord de Copenhague, que de replacer ce courant si populaire de la BD japonaise dans le contexte de l'histoire de l'art et du 7e art.

« Image malhabile »

L'histoire des mangas a 200 ans, rappelle en images l'exposition danoise qui reprend l'idée originale du Deutsches Filminstitut (DIF) et du Deutsches Filmmuseum de Francfort. Littéralement, le mot « manga » se traduit par « esquisse rapide » ou « image malhabile ». Il est utilisé dès la fin du XVIIIe siècle, mais n'est vraiment connu de l'Occident qu'avec le grand ­Hokusai, maître de l'ukiyo-e (« images du monde flottant ») qui publie en 1814 ses recueils d'esquisses, les « Hokusai manga ». Elle ne prend son sens spécifique de bande dessinée qu'au XXe siècle et devient très populaire après 1945, sous l'effet conjugué des désastres de la guerre et de l'occupation américaine.

Pour les spécialistes de la BD, le phénomène « manga », qui a envahi le marché japonais, touche de plein fouet la France à partir de 2005. Début 2006, analysent-ils, la France est, avec plus de 13 millions d'exemplaires annuels, le plus gros consommateur de mangas au monde, après le Japon, devant les États-Unis.

Puisque le succès international est venu du petit écran, chaque héros de dessin animé a ici sa vitrine qui explique à l'adulte ce que les enfants savent déjà… Qui sont les légendaires Astro Boy, petit robot atomique conçu par un savant pour remplacer son fils mort à la guerre, Dragon Ball l'univers de Sangoku et tous ses amis qui a déjà nourri 42 volumes de mangas et devrait devenir un film cette année, Akira, son « biker gang » qui vit dans le Néo-Tokyo de 2019 après l'effacement de Tokyo par la bombe, Naruto, jeune ninja qui cherche à devenir « Hokage », le ninja le plus puissant de son village. L'exposition leur explique tout ce que font les pros de la BD pour les captiver.

Du « genga » au « doga »

Manga publié à partir de 1952, dessin animé à partir de 1963 sur la TV japonaise, Astro Boy (Astro, le petit robot en France) est dessiné d'un crayon incroyablement sûr par le grand Osamu Tezuka (1928-1989), planches à l'appui. La vitrine consacrée au maître de l'animation, Hayao Miyazaki (né en 1941), explique comment l'on passe de l'esquisse (« genga ») au dessin abouti (« doga ») avant transfert sur feuilles celluloïd (« cels ») où le travail de la caméra crée le mouvement. Un film comme Mon voisin Totoro de Miyazaki (1988) utilise 12 « cels » par seconde…

Les amateurs d'art contemporain ne seront pas perdus qui reconnaîtront dans ce code graphique, net, si perfectionniste dans sa facture, joyeux dans sa couleur, sombre dans son propos, les toiles déroutantes de Takashi Murakami, 46 ans, star du marché en gloire intronisée au Brooklyn Museum au printemps dernier.

» Une longue histoire

» Le neuvième art entre au Louvre

« MANGA ! », jusqu'au 8 février à la Fondation Louisiana, musée d'art moderne, Gl. Strandvej 13, 3050 Humlebæk. www.louisiana.dk

4 janvier 2009

Bonne et heureuse année 2008

                

Bonjour je vous souhaite une bonne et heureuse année 2008

bonne_annee

21 décembre 2008

Beau comme un Manga - Reportage Cosplay Partie 2

Beau comme un Manga - Reportage Cosplay Partie 2
Vidéo envoyée par Ryokei

Beau comme un Manga est un reportage traitant du mouvement Cosplay en France diffusé cet été 2007 sur France 2. Zadig Production a donc suivi Marjorie et Yvon du début de projet de leurs costumes jusqu'à leurs présentations à la Convention Cosplay de Paris. Et en voici la seconde partie.

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21 décembre 2008

Beau comme un Manga - Reportage Cosplay Partie 1

Beau comme un Manga est un reportage traitant du mouvement Cosplay en France diffusé cet été 2007 sur France 2.
Zadig Production a donc suivi Marjorie et Yvon du début de projet de leurs costumes jusqu'à leurs présentations à la Convention Cosplay de Paris.
Et en voici la première partie..

19 décembre 2008

Le mangaka

Le mangaka :

L'auteur de manga est appelé mangaka Le terme se compose ainsi de manga et de ka = suffixe de "celui qui pratique le métier de". Donc, on arrive au sens de "celui qui fait des mangas". Ainsi, on peut faire la même expérience avec tous les autres noms de métier japonais."Celui qui fait des mangas", et non "celui qui dessine des mangas", comme le pensent la plupart des français. Le mangaka ne fait pas que les dessins, mais aussi l'histoire. Et plus il est reconnu, plus il a d'assistants pour l'aider dans sa tache, et moins il dessine. Le mangaka peut arriver à la fin d'une très bonne carrière à ne faire que le scénario et quelques esquisses, ses assistants faisant tout le travail le plus laborieux à sa place. Ce terme désignant une activité bien précise et spécifique, et étant passé dans le langage courant j'emploierais le terme mangaka pour parler d'auteurs de mangas. La planche est un terme du métier d'auteurs de bandes dessinées en générale. Il désigne la feuille finalisée sur laquelle une page de bande dessinée a été réalisée. Ici, c'est le rendu final d'une page de manga. Le mangaka japonais vit de son art, plus ou moins bien, mais ne peut pas se permettre de faire ce métier à côté d'une autre activité. Le mangaka a un rendement imposé et très élevé. Il doit rendre en moyenne 20 planches par semaines, soit plus de 1000 planches à l'année (contre 42 en moyenne pour les auteurs de BD européennes). Ses oeuvres seront d'abord publiées dans des magazines de prépublication avant de les voir éditées au format poche que nous connaissons, si la série a du succès. Pour plus de rapidité, les planches sont en noir et blanc, et les aplats sont faits à la trame (technique plus rapide pour donner des teintes grisées). Ce rendement ne permet pas à l'auteur de pratiquer une autre activité pour arrondir les fins de mois, mais s'il a assez de notoriété, il peut se faire prêter des aides par sa maison d'édition pour aller plus vite. Ces aides sont appelés aussi
assistants mangakas. Ce sont en générale des étudiants qui travaillent
à mi-temps pour gagner un peu d'argent, mais ce sont aussi des jeunes
qui veulent devenir mangaka. Le mangaka ne dirige pas l'histoire comme il le veut, c'est la maison d'édition qui décide, et les lecteurs par l'intermédiaire de sondages. Par contre, le mangaka touche plus en droit d'auteur que les auteurs de BD françaises (5% à 10% du prix de la BD en France). D'où la prolifération des mangakas au Japon.

19 décembre 2008

Reportage Mangas FRANCE 3

petit reportage diffusé sur France 3

19 décembre 2008

Les différents mangas

Il existe plusieurs types de mangas. Ils sont déterminés selon
les groupes d'individus qu'ils visent, et non en genre, comme en
Europe ou au Etats-Unis. Il y a nombre de types de mangas au Japon,
car il en existe pour toutes les classes d'âge et toutes les classes
sociales. Voici une liste qui présente les catégories de mangas :

Shônen : manga pour jeune garçon. Il
prend un jeune garçon pour héros, et les histoires tournent très souvent autour de combats ou de quêtes. Nous l'appellerions ici le manga
d'aventure. Dans la langue japonaise, shônen signifie jeune garçon.

Shôjo: mangas pour jeunes filles. Ils
relatent tous ou presque Des histoires d'amours impossibles entre une
jeune fille et un garçon. On pourrait l'appeler la romance sentimentale.
Dans la langue japonaise, shôjo signifie jeune fille.

Kodomo manga a destination des
enfants. Dans la langue japonaise, kodomo signifie enfant.

Seinen : manga pour jeune homme. Les
histoires y sont plus sérieuses que dans les mangas pour jeunes
garçon. Il peut s'agir d'histoires policières, d'histoires d'horreurs,
d'histoires de vengeances, d'histoires vraies, historiques.

Josei : manga pour jeune femme. C'est
l'équivalent du seinen manga, mais pour les femmes. Les histoires y
sont donc plus tintées de sentiments, mais sans êtres aussi
extravagants que dans les shojo mangas.

Seijin  : manga pour homme.

Redisu : manga pour femme. Mot
d'origine étrangère qui s'apparente à "Lady's".

Shônen-ai : manga pour jeunes
garçons/hommes qui aiment les jeunes garçons/hommes. Ces histoires
racontent l'amour qu'il y a entre deux jeunes hommes très beaux. A la
base à destination des jeunes garçons/hommes, il est énormément lu
par leurs homologues féminins. Dans les shônen-ai, il n'y a pas de
scènes tendancieuses. Tout reste soft. Le mot shônen-ai est composé
de shônen = jeune garçon, et de ai = amour.

Shôjo-ai: manga pour jeunes
filles/femmes qui aiment les jeunes filles/femmes. C'est l'équivalent
du shônen-ai mais
pour les filles.

Yaoi  : manga à destination des hommes
qui aiment les hommes. Ce manga retrace les aventures d'un groupe
de jeunes garçons/hommes. Les relations entre eux sont très proches.
Pourtant, il peut très bien s'agir d'un groupe de policiers et le lien qui
les lient n'est autre que de la camaraderie, comme il peut s'agir de
deux amants, auquel cas, les scènes sont réservées aux adultes. Un
manga yaoi signifie manga avec des liens entres les hommes, mais au
sens large. Pas forcément des liens amoureux. Le terme yaoi n'existe
que pour les mangas. Il n'y a pas de significations dans la langue
japonaise.

Yuri : manga à destination des jeunes
filles/femmes qui aiment les jeunes filles/femmes. C'est l'équivalent
du yaoi manga, mais pour les filles.

Ecchi : manga érotique a destination des
jeunes garçons et hommes. Pas de scènes tendancieuses, mais
beaucoup de petites culotes et de poitrines.

Hentai  : manga pornographique
hétérosexuel à destination de tous les adultes.

Shitei : manga humoristique à destination
de tous.

Jidaimono  manga historique.

Suiri  : manga policier très sanglant.

Moe : manga tourné vers le fétichiste d'un
personnage. On parle aussi de manga très "moe-moe" pour certains
shônen-ai.

Meka : manga avec des robots géants.

Yonkoma : manga en 4 cases, Histoires souvent humoristiques.

il existe pleins d'autre catégorie de manga qui sons en générale des sous catégorie de celle que je vous et site

17 décembre 2008

Le mangaka

Le mangaka :
L'auteur de manga est appelé mangaka Le terme se compose ainsi de manga et de ka = suffixe de "celui qui pratique le métier de". Donc, on arrive au sens de "celui qui fait des mangas". Ainsi, on peut faire la même expérience avec tous les autres noms de métier japonais."Celui qui fait des mangas", et non "celui qui dessine des mangas", comme le pensent la plupart des français. Le mangaka ne fait pas que les dessins, mais aussi l'histoire. Et plus il est reconnu, plus il a d'assistants pour l'aider dans sa tache, et moins il dessine. Le mangaka peut arriver à la fin d'une très bonne carrière à ne faire que le scénario et quelques esquisses, ses assistants faisant tout le travail le plus laborieux à sa place. Ce terme désignant une activité bien précise et spécifique, et étant passé dans le langage courant j'emploierais le terme mangaka pour parler d'auteurs de mangas. La planche est un terme du métier d'auteurs de bandes dessinées en générale. Il désigne la feuille finalisée sur laquelle une page de bande dessinée a été réalisée. Ici, c'est le rendu final d'une page de manga. Le mangaka japonais vit de son art, plus ou moins bien, mais ne peut pas se permettre de faire ce métier à côté d'une autre activité. Le mangaka a un rendement imposé et très élevé. Il doit rendre en moyenne 20 planches par semaines, soit plus de 1000 planches à l'année (contre 42 en moyenne pour les auteurs de BD européennes). Ses oeuvres seront d'abord publiées dans des magazines de prépublication avant de les voir éditées au format poche que nous connaissons, si la série a du succès. Pour plus de rapidité, les planches sont en noir et blanc, et les aplats sont faits à la trame (technique plus rapide pour donner des teintes grisées). Ce rendement ne permet pas à l'auteur de pratiquer une autre activité pour arrondir les fins de mois, mais s'il a assez de notoriété, il peut se faire prêter des aides par sa maison d'édition pour aller plus vite. Ces aides sont appelés aussi
assistants mangakas. Ce sont en générale des étudiants qui travaillent
à mi-temps pour gagner un peu d'argent, mais ce sont aussi des jeunes
qui veulent devenir mangaka. Le mangaka ne dirige pas l'histoire comme il le veut, c'est la maison d'édition qui décide, et les lecteurs par l'intermédiaire de sondages. Par contre, le mangaka touche plus en droit d'auteur que les auteurs de BD françaises (5% à 10% du prix de la BD en France). D'où la prolifération des mangakas au Japon.

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